Ci-dessous :
Au mur : De gris clair à ambre
Version photographique - 2016 - Tirage photographique 38 cm x 15 cm
Au sol : Iles
Gris clair – Améthyste – Bleu azur – Turquoise – Bleu passion - Bleu caraïbes x 2 –
Vert lagon - Vert amande – Caramel – Autumn – Sunrise – Ambre
2007 - 2017
Série de 12 peintures acrylique sur papier - 75 cm x 90 cm, présentées notamment en installation,
sous forme de rouleaux
Vert Lagon présentée au sol, sous plaque de verre - 75 cm x 75 cm
IL FAIT CHAUD A LA MER JE N'AI PAS PEUR DES VAGUES Version mosaïque, composée de 21 impressions laser 41,5 cm x 28,5 cm 2017
Ci-dessous :
Table lumineuse, version jour et version nuit
Installation composée d’une table lumineuse 80 cm de diamètre et de verres polis North Berwick
- 19 - 3 – 17 - ramenés par mes hôtes Flavie Roche et Claude Piot
2017
Accompagnée de trois tirages photographiques contrecollés 30 cm x 20 cm
Ci-dessous :
Ciel – mer - ellipses – vert lagon – version nuit
2017
Feutre, encre noire et encre vert lagon sur papier
100 cm x 70 cm recadré 70 cm x 50 cm
Présenté à contre-jour, sous cadre avec reflets plexiglass
Ci-dessous :
Elipse vert lagon - Tirage photographique – 26 cm x 20 cm
Elipse - Tirage photographique – 26 cm x 20 cm
2017
Ci-dessous :
Feux - version nuit brillante
Feux - version nuit mate
Feutre, encre noire et encre vert lagon sur papier avec reflets plexiglass
100 cm x 70 cm
2017
Ci-dessous :
Feu - Vert lagon
Tirage photographique contrecollé 40 cm x 60 cm
2017
L'exposition a pris forme ainsi :
« Un travail inachevé : une édition comportant plusieurs travaux, jamais vraiment montrés, avec une étape qui n’a pas pu avoir lieu – restée en suspens – vert lagon. En 10 ans, les surfaces arrondies et colorées se sont tordues et fragmentées, vestiges d’une vision passée.
Une amorce de travail : la (re)trouvaille d’une carte postale que j’ai envoyée, il y a 34 ans -selon mes suppositions. IL FAIT CHAUD A LA MER JE N’AI PAS PEUR DES VAGUES CLAIRE-LISE écrit en lettres capitales au verso. Au recto une mer à la ligne d’horizon trop haute, une lumière diffractée. « Iris » – le nom de la collection – écrit en bas à droite.
Un lieu et ses hôtes.
Entre les deux strates du passé, amorce et réactualisation, se sont construits des liens de sens, qui ont pris formes par la rencontre avec ce lieu.
Ce lieu c’est le Jardin d'hélys-œuvre - qui demande à être investi. Lieu de relation et de création, atelier, support à l’œuvre, lieu-œuvre à venir, il s’agit d’un phare au milieu de la ville, avec le soleil qui s’y lève et se couche, des nuages qui y passent et se délitent, de la lumière qui brûle les yeux, une éclipse qui apparaît sur l’immeuble d’en face, une ellipse vert lagon à la fenêtre, une ligne d’horizon au-dessus de la ville, des branches d’hiver qui se transforment en une couleur verte.
Au-delà d’une exposition, il s’agit de s’immerger dans cette rencontre.
Une version jour et une version nuit, avec toutes les valeurs temporelles et météorologiques intermédiaires, voici ce qu’il est proposé d’éprouver cet été.
Pas de vernissage donc, mais des rendez-vous temporels et météorologiques."